Aller au contenu principal

Loi de finances
Un crédit d’impôt en échange de l’arrêt du glyphosate

Un crédit d’impôt de 2 500 euros pour 2021 et 2022 est en cours de validation au profit de ceux qui arrêteront d’utiliser le glyphosate.

Le 27 novembre, à la suite du Conseil de défense écologique, le ministre de l’agriculture annonçait que le gouvernement allait « accentuer l’aide financière aux agriculteurs » sur le dossier du glyphosate. Dans la foulée, avec avis favorable du gouvernement, le Sénat a adopté le 6 décembre les amendements portés par des sénateurs LREM, PS, PRG et radicaux, sur la création d’un crédit d’impôt d’un montant de 2 500 €. Ce dernier doit permettre « de soutenir les entreprises agricoles qui déclarent en 2021 et/ ou 2022 qu’elles n’utilisent plus de produits phytopharmaceutiques contenant la substance active du glyphosate ».

 

Titre
Je m'abonne
Body
A partir de 85€
Liste à puce
Accédez à tous les articles du site Terre de Touraine
Consultez le journal Terre de Touraine au format numérique, sur tous les supports
Ne manquez aucune information grâce à la newsletter du journal Terre de Touraine
Sous-titre
Vous êtes abonné(e)
Titre
IDENTIFIEZ-VOUS
Body
Connectez-vous à votre compte pour profiter de votre abonnement
Sous-titre
Vous n'êtes pas abonné(e)
Titre
Créez un compte
Body
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Terre de Touraine.

Vous aimerez aussi

« L’employeur doit assurer la sécurité de ses salariés »

Que ce soit pour le risque CO2 ou les autres risques professionnels, l’employeur a un vrai rôle à jouer auprès de ses salariés, comme l’explique Au

Risque CO2 : ventiler et détecter, les deux impératifs

Les accidents liés au CO2 sont malheureusement trop nombreux dans les exploitations viticoles.

Chenonceaux aspire à voler de ses propres ailes

En assemblée générale le 21 mars, les adhérents de l’ODG touraine-chenonceaux ont acté le fait de travailler cette année pour évoluer d’un statut d

Comprendre la puissance du sol

 « Ce qu’on sait sur le sol, c’est qu’on ne sait pas grand-chose ! », lançait Konrad Schreiber, lors d’une formation en agronom

Plus besoin de tire-bouchon pour boire du vin !

Vignerons à Benais, Vincent et Guillaume Delanoue proposent désormais une partie de leur production conditionnée en canettes, pour aller chercher u

Que sait-on aujourd’hui de la flavescence dorée ?

 Dispersion de la maladie, sensibilité en fonction des cépages, phénomènes de rétablissement : état des lieux sur les connaissances actue

Publicité