Aller au contenu principal

BIEN-ÊTRE CAPRIN
Des solutions simples issues des pratiques des éleveurs

De nombreux éleveurs caprins ont mis en place des aménagements simples des lieux de vie de leur troupeau, pour leur laisser l’opportunité de jouer, grimper, se cacher. Tour d’horizon suite à une enquête de l’Anicap*.

Les râteliers suspendus en hauteur font partie des aménagements possibles. Ils attisent la curiosité des chèvres, valorisent les fourrages, pailles ou refus et diminuent l’expression de dominance.

Les chèvres ont des besoins comportementaux spécifiques : ce sont notamment des animaux cueilleurs, curieux, pour qui la hiérarchie dans le troupeau est importante. Il existe cinq catégories d’enrichissement de leur milieu : physique, occupationnelle, sensorielle, nutritionnelle et sociale. 

La filière caprine s’est emparée du sujet du bien-être animal, en concertation avec les associations welfaristes, au vu de l’attente sociétale au niveau français et européen. Elle a constaté le manque de références sur les enrichissements existants et a ainsi lancé deux recueils d’expériences auprès des éleveurs, l’un sur les aires d’exercice (lire encadré), l’autre sur l’aménagement des bâtiments. Les résultats ont été présentés par Mélissa Brocart de l’Anicap, lors de la journée technique caprine du 19 juin dans le cadre du Cap filière caprins. 

Titre
Je m'abonne
Body
A partir de 85€
Liste à puce
Accédez à tous les articles du site Terre de Touraine
Consultez le journal Terre de Touraine au format numérique, sur tous les supports
Ne manquez aucune information grâce à la newsletter du journal Terre de Touraine
Sous-titre
Vous êtes abonné(e)
Titre
IDENTIFIEZ-VOUS
Body
Connectez-vous à votre compte pour profiter de votre abonnement
Sous-titre
Vous n'êtes pas abonné(e)
Titre
Créez un compte
Body
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Terre de Touraine.

Vous aimerez aussi

Descartes : un nouveau boucher passionné

À Descartes, Steven Lardin, 32 ans, a repris la boucherie du centre-ville en juillet dernier.

Philippe Benoit du Rey a accueilli plusieurs élus sur sa ferme d’Orbigny, pour attirer leur attention sur les incohérences juridiques qui freinent la création de fermes pilotes dédiées à l’étude de l’infiltration de l’eau.
Eau : un projet freiné par la réglementation

À Orbigny, Philippe Benoit du Rey veut démontrer qu’une meilleure gestion de l’eau est possible en créant une ferme pilote.

L'essor de l’industrie laitière en Touraine

Entre 1890 et 1930, la Touraine connaît une véritable mutation laitière, marquée par l’émergence des laiteries, la naissance des coopérat

Grâce à une météo favorable, les semis des céréales d'automne touchent à leur fin en Indre-et-Loire.
Des semis sous de bons auspices

À l’échelle du département, les semis de blé sont bien avancés.

Lors de la journée du PNDV tour organisée à Saint-Nicolas-de-Bourgueil en juillet, Charlotte Mandroux et Sophie Bentéjac ont présenté les outils existants pour les vignerons, ainsi qu’un projet à venir.
Des outils pour agir face au dépérissement de la vigne

Les vignerons disposent d’outils, notamment digitaux, développés via le plan national de durabilité du vignoble pour pérenniser le vignoble et la c

Chaque irrigant doit réduire son nombre de jours de prélèvement de 30 % par rapport à l’autorisation initiale en période d’alerte et de 50 % en période d’alerte renforcée.
Sécheresse en Indre-et-Loire : comment ça fonctionne ?

Un nouvel arrêté fixe les règles de prélèvement d’eau jusqu’au 31 octobre.

Publicité