Maïs fourrage
« Les dégâts auraient pu être bien pires »
La précocité de la récolte du maïs fourrage résulte d’une conjoncture d’éléments liés au climat pour la plupart, explique Augustin Gravier, conseiller fourrages à la chambre d’agriculture de l’Indre-et-Loire. Il invite les éleveurs à mener une réflexion sur les alternatives et les stratégies fourragères.
La précocité de la récolte du maïs fourrage résulte d’une conjoncture d’éléments liés au climat pour la plupart, explique Augustin Gravier, conseiller fourrages à la chambre d’agriculture de l’Indre-et-Loire. Il invite les éleveurs à mener une réflexion sur les alternatives et les stratégies fourragères.
Compte tenu des déficits hydriques et de la concurrence pour l’accès à l’eau sur le territoire, la création de retenues pour stocker l’eau ne peut pas suffire à elle seule pour maintenir le potentiel du maïs fourrage, estime Augustin Garnier, par ailleurs conseiller régional pour le réseau Herbe et fourrages.
Cette année en France, on assiste à des records en matière de précocité de récolte des maïs fourrage. Qu’en est-il en Touraine ?