Aller au contenu principal

VOLAILLES ET LAPINS
Abattoir de Saint-Flovier : une réorganisation maîtrisée

L’abattoir de Saint-Flovier est passé fin 2022 à trois jours d’abattage hebdomadaires, 2023 a ainsi été marqué par cette réorganisation. La gestion des mouvements d’apporteurs à venir sera le prochain défi.

La structure de Saint-Flovier a atteint ses objectifs prévisionnels d’augmentation du nombre d’abattages en 2023, ce qui a nécessité une nouvelle organisation.

Comme prévu, l’abattoir de Saint-Flovier est désormais en activité trois jours par semaine depuis fin 2022, au lieu de deux. Son chiffre d’affaires a ainsi atteint 108 000 euros en 2022, contre 99 000 euros en 2021. L’abattoir affiche au 31 décembre 2022 une situation saine, avec un résultat de - 7 500 euros, justifié par la réorganisation du temps de travail et la formation de nouveaux salariés liée au turn-over. En effet, un effectif de cinq salariés est désormais nécessaire pour assurer l’abattage, recrutés pour certains via le Groupement d’employeurs de Touraine. 

Titre
Je m'abonne
Body
A partir de 85€
Liste à puce
Accédez à tous les articles du site Terre de Touraine
Consultez le journal Terre de Touraine au format numérique, sur tous les supports
Ne manquez aucune information grâce à la newsletter du journal Terre de Touraine
Sous-titre
Vous êtes abonné(e)
Titre
IDENTIFIEZ-VOUS
Body
Connectez-vous à votre compte pour profiter de votre abonnement
Sous-titre
Vous n'êtes pas abonné(e)
Titre
Créez un compte
Body
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Terre de Touraine.

Vous aimerez aussi

Descartes : un nouveau boucher passionné

À Descartes, Steven Lardin, 32 ans, a repris la boucherie du centre-ville en juillet dernier.

L'essor de l’industrie laitière en Touraine

Entre 1890 et 1930, la Touraine connaît une véritable mutation laitière, marquée par l’émergence des laiteries, la naissance des coopérat

(photo principale)
Adeline Hergault, technico-commerciale passionnée

L’élevage coule dans les veines d'Adeline Hergault et elle partage ce point commun avec les éleveurs qu’elle suit en tant que technico-commerciale

Le moha présente un bon pouvoir couvrant grâce à un tallage important, limitant le développement des adventices lors de l’interculture.
Le moha, un fourrage estival taillé pour la chaleur

Face aux étés secs, Jacky Girard implante en dérobé du moha, un fourrage appétent qui sécurise les stocks et prépare la culture suivante.

Le programme Herbe et Fourrage impulse des projets de recherche coconstruits avec les éleveurs, afin d’être en adéquation avec leur interrogations.
Un réseau dynamique répondant aux interrogations des éleveurs

Le programme Herbe et Fourrages accompagne depuis plus de dix ans les éleveurs de la région dans la gestion de leurs systèmes fourragers.

La réunion du 24 juillet a permis aux éleveurs de faire remonter toutes leurs interrogations sur la main-d’œuvre vétérinaire, la contention, la faune sauvage, les différentes conséquences financières.
Tuberculose bovine : le bilan et les mesures à venir

Un an après la découverte d'un foyer de tuberculose bovine dans le département, service de l'Etat, GDS et éleveur font le point.

Publicité