Aller au contenu principal

Agroéquipement : des prix qui côtoient des sommets

  Chacun le constate, le prix des matériels agricoles n’a cessé d’augmenter ces derniers mois. En outil de traction, certains acteurs de ce marché parlent d’un investissement proche de 1 000 euros le cheval pour un matériel neuf. Mais quelles sont les raisons d’une telle hausse ? Voici quelques éléments de réponse.

Depuis deux ans maintenant, force est de constater que le chiffre d’affaires des constructeurs d’agroéquipements n’a cessé d’augmenter, de l’ordre de 10 voire 15 %. Tous répercutent sur leur tarif final la hausse significative qu’ils subissent de leurs fournisseurs. En effet, la totalité des matières premières nécessaires à la construction de matériels agricoles ne cessent d’augmenter, comme le souligne Axema, l’union des industriels de l’agroéquipement. Grâce à une étude sur le contexte économique en France et en Europe de janvier 2023, l’organisme révèle que les prix de l’énergie tendent à baisser. En revanche le cours des minerais, nécessaires à la fabrication de composants électroniques notamment, reste élevé. Tout comme celui de l’acier, principal matériau utilisé dans la fabrication d’engins agricoles, qui s’élève 850 euros/tonne, soit un prix multiplié par trois en dix-huit mois.

Titre
Je m'abonne
Body
A partir de 5,54€/mois
Liste à puce
Accédez à tous les articles du site Terre de Touraine
Consultez le journal Terre de Touraine au format numérique, sur tous les supports
Ne manquez aucune information grâce à la newsletter du journal Terre de Touraine
Sous-titre
Vous êtes abonné(e)
Titre
IDENTIFIEZ-VOUS
Body
Connectez-vous à votre compte pour profiter de votre abonnement
Sous-titre
Vous n'êtes pas abonné(e)
Titre
Créez un compte
Body
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Terre de Touraine.

Vous aimerez aussi

TRANSPORT, TP, TRAVAUX AGRICOLES ET DÉSORMAIS NÉGOCE DE MATÉRIAUX
Grâce à son imperturbable envie d’entreprendre, la famille Bournand n’a cessé de développer l’ETA familiale depuis sa reprise en 2006.
Conquérir de nouveaux consommateurs
  D’après l‘étude d’Interloire, 15 millions de personnes sont des consommateurs potentiels de saint-nicolas-de-bourgueil.
Julian Poussier : la faune sauvage dans l’objectif
  De Saint-Quentin-sur-Indrois, le jeune Julian Poussier révèle depuis trois ans ses talents de photographe animalier.
LA CIRCULATION DES ENGINS AGRICOLES : PAS TOUJOURS ÉVIDENTE SUR LE TERRAIN
  A l’occasion de leur assemblée générale, les entrepreneurs du territoire ont révisé les règles de circulation des engins agricoles, et échangé sur l
Un choix d’ateliers bien réfléchi
   A Bossay-sur-Claise, Benoît Detot a repris l’exploitation familiale en 2021.
Une peupleraie expérimentale
  A Beaulieu-Lès-Loches, l’espace naturel sensible (ENS) des Prairies du Roy a accueilli une nouvelle peupleraie, voilà un an.
Publicité