Aller au contenu principal

Axéréal : alloter pour s’adapter aux exigences des clients

Presque la totalité des producteurs de céréales livrent leur récolte à un organisme stockeur (OS), que ce soit à la moisson ou durant le reste de l’année. Mais une fois déchargée au silo, que devient cette récolte ? L’Aurore paysanne a échangé avec le premier vice-président de la coopérative Axéréal.

Bruno Bouvat-Martin, premier vice-président d’Axéréal, précise que, bon an mal an, 50 % de la récolte française de blé sont exportés. Ces 50 % sont donc directement livrés au port, principalement Rouen et la Palice pour la région Centre-Val de Loire. Les 50 % restants sont transformés. « Nous avons des clients très diversifiés, explique-t-il. Et nous devons sans cesse mettre en adéquation la qualité de nos lots de grains avec la demande de nos clients. » Autrement dit, les exigences de qualité ne seront pas les mêmes s’il s’agit d’un meunier, d’un fabricant d’aliments ou d’un amidonnier.  Sur l’aspect alimentation du bétail, Axéréal livre bien entendu sa filiale Axéréal Elevage, mais également, entre autres, certains ateliers de transformation bretons. « Ce sont des trains complets qui quittent l’un de nos trente-six silos reliés au rail », précise Bruno Bouvat-Martin. Ils font partie des deux milles trains chargés en moyenne chaque année par le groupe.

Titre
Je m'abonne
Body
A partir de 85€
Liste à puce
Accédez à tous les articles du site Terre de Touraine
Consultez le journal Terre de Touraine au format numérique, sur tous les supports
Ne manquez aucune information grâce à la newsletter du journal Terre de Touraine
Sous-titre
Vous êtes abonné(e)
Titre
IDENTIFIEZ-VOUS
Body
Connectez-vous à votre compte pour profiter de votre abonnement
Sous-titre
Vous n'êtes pas abonné(e)
Titre
Créez un compte
Body
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Terre de Touraine.

Vous aimerez aussi

Descartes : un nouveau boucher passionné

À Descartes, Steven Lardin, 32 ans, a repris la boucherie du centre-ville en juillet dernier.

Philippe Benoit du Rey a accueilli plusieurs élus sur sa ferme d’Orbigny, pour attirer leur attention sur les incohérences juridiques qui freinent la création de fermes pilotes dédiées à l’étude de l’infiltration de l’eau.
Eau : un projet freiné par la réglementation

À Orbigny, Philippe Benoit du Rey veut démontrer qu’une meilleure gestion de l’eau est possible en créant une ferme pilote.

L'essor de l’industrie laitière en Touraine

Entre 1890 et 1930, la Touraine connaît une véritable mutation laitière, marquée par l’émergence des laiteries, la naissance des coopérat

Grâce à une météo favorable, les semis des céréales d'automne touchent à leur fin en Indre-et-Loire.
Des semis sous de bons auspices

À l’échelle du département, les semis de blé sont bien avancés.

Lors de la journée du PNDV tour organisée à Saint-Nicolas-de-Bourgueil en juillet, Charlotte Mandroux et Sophie Bentéjac ont présenté les outils existants pour les vignerons, ainsi qu’un projet à venir.
Des outils pour agir face au dépérissement de la vigne

Les vignerons disposent d’outils, notamment digitaux, développés via le plan national de durabilité du vignoble pour pérenniser le vignoble et la c

Chaque irrigant doit réduire son nombre de jours de prélèvement de 30 % par rapport à l’autorisation initiale en période d’alerte et de 50 % en période d’alerte renforcée.
Sécheresse en Indre-et-Loire : comment ça fonctionne ?

Un nouvel arrêté fixe les règles de prélèvement d’eau jusqu’au 31 octobre.

Publicité