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Un prix similaire pour chaque outil à la Cuma de la Rabelaisie

Limiter les charges de mécanisation tout en effectuant un désherbage de qualité grâce à du matériel récent, voici les deux objectifs atteints par la Cuma de la Rabelaisie. Ses adhérents ont opté pour un tarif à l’hectare commun, quel que soit l’outil utilisé. 

Parmi les trente adhérents que recense la Cuma de la Rabelaisie dans le Chinonais, sept se sont convertis à l’agriculture biologique ces dernières années. Pour ces sept producteurs, céréaliers comme éleveurs, le désherbage mécanique est une priorité. Même s’ils travaillent beaucoup sur le préventif, en allongeant les rotations et pour certains en labourant régulièrement, le traitement curatif est nécessaire. Et en bio, les solutions sont limitées. « C’est avant tout le désherbage mécanique qui nous intéresse », introduit Guillaume Turquois, président de la Cuma. « C’est pour cette raison que nous avons fait le choix de mutualiser plusieurs outils. Le passage au bio nous a demandé des investissements conséquents et nous avons fait le choix de les réaliser à plusieurs », observe l’agriculteur de Marçay.

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