Aller au contenu principal

Une prise en charge du surcoût de gaz et d’électricité à revoir

 Fin juillet, après accord de Bruxelles, le gouvernement a lancé un système de prise en charge des surcoûts de gaz et d’électricité pour les entreprises. La FNSEA fait des propositions d’évolution pour qu’il soit adapté aux exploitations agricoles et soit pérennisé en 2023.

Les exploitations agricoles, comme toutes les petites entreprises, sont pour l’instant écartées du dispositif d’aide, une situation qu’entend bien faire évoluer la FNSEA

Pour limiter l’impact catastrophique de la hausse des prix de l’énergie pour les entreprises qui ne bénéficient pas du bouclier tarifaire (hausse de l’électricité et du gaz limitée à + 15 % en 2023), le gouvernement a prévu une prise en charge partielle du surcoût. Le mécanisme prévoit de prendre en charge partiellement le surcoût au-delà du doublement du prix du gaz et/ou de l’électricité. Ainsi si, par exemple, la facture moyenne mensuelle de 2021 est de 2 000 € et celle de 2022 est de 4 000 € : pas de prise en charge. Si celle de 2022 est de 5 000 €, le « coût éligible » défi ni dans le décret, la base de la prise en charge partielle est de 1 000 €. Trois niveaux de prise en charge sont envisagés suivant l’ampleur de l’impact sur les résultats de l’entreprise et sa pérennité : 1) 30 % des coûts éligibles plafonnés à 2 M€ (600 000 € d’aide), pour les entreprises subissant une baisse d’excédent brut d’exploitation (EBE) par rapport à 2021 ou ayant des pertes d’exploitation.

Titre
Je m'abonne
Body
A partir de 85€
Liste à puce
Accédez à tous les articles du site Terre de Touraine
Consultez le journal Terre de Touraine au format numérique, sur tous les supports
Ne manquez aucune information grâce à la newsletter du journal Terre de Touraine
Sous-titre
Vous êtes abonné(e)
Titre
IDENTIFIEZ-VOUS
Body
Connectez-vous à votre compte pour profiter de votre abonnement
Sous-titre
Vous n'êtes pas abonné(e)
Titre
Créez un compte
Body
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Terre de Touraine.

Vous aimerez aussi

Les méthodes Merci et Beerkan ont été expliquées par Olivier Hochedel, de la FDGEDA du Cher. ©C.T
Projet Recouvertt : favoriser la montée en compétences des couverts

Les couverts d’interculture sont aujourd’hui des alternatives agronomiques.

La plateforme multifrais Valifruit recherche de nouveaux producteurs de légumes. ©Valifruit
Tirer son épingle du jeu pour fournir la restauration collective

Alimentation / La restauration collective offre de réelles opportunités pour les producteurs locaux, à condition d’en comprendre les code

À la ferme des Landes, le goût du local se transmet et se partage

En 1996, la crise de la vache folle a créé une défiance chez le consommateur et une chute du marché de la viande.

Les présidents de l'Amil, Cédric de Oliveira et de l'Association des maires de France, David Lisnard, ont tous deux dénoncé le manque de moyens des maires, qui va en s'aggravant. ©N.D
Le challenge des maires se complexifie

Un trop-plein de normes et une contrainte budgétaire qui s’alourdit ont fait partie des sujets clés évoqués lors du congrès des maires d’Indre-et-L

Les producteurs gérant le magasin La Charrette de Chambray-lès-Tours ont revendu la boutique créée il y a sept ans à Truyes. ©N.D
La Charrette a vendu son magasin de Truyes

La fermeture de La Charrette de Truyes, après sept ans d’activité, rappelle que la réussite d’un magasin de producteurs repose sur la présence acti

Les deux robots aspirateurs de lisier suivent les parcours enregistrés pour nettoyer plusieurs dizaines de fois par jour le bâtiment d'élevage du Gaec du Maupas. ©B.R
Nettoyage : du tracteur à l'aspirateur

 Le Gaec du Maupas, à Martizay (36), a automatisé le nettoyage de son bâtiment d'élevage et de son aire d'attente.

Publicité