Aller au contenu principal

Produire ses protéines fourragères en caprin : intéressant économiquement

Produire des fourrages de bonne valeur nutritive pour limiter l’achat des aliments du commerce contribue à développer l’autonomie alimentaire en élevage. C’est particulièrement important en élevage caprin, surtout en zone AOP.

Mais économiquement, est-ce intéressant ? C’est la question que se sont posée Richard Bransol et Isabelle Genevier à Veuil (36).

Habituellement, les 150 chèvres du troupeau du du Gaec ferme de la Fringale à Veuil (Indre) étaient nourries avec du foin de luzerne acheté sur la zone AOP. Il fallait ainsi en prévoir tous les ans une centaine de tonnes, soit 12 000 € par an, pour nourrir le troupeau. Dans le cadre du suivi Herbe et fourrages, une douzaine d’hectares de luzerne ont été implantés pour la première fois sur une même parcelle, les semences ayant été financées par le programme.

 

Titre
Je m'abonne
Body
A partir de 85€
Liste à puce
Accédez à tous les articles du site Terre de Touraine
Consultez le journal Terre de Touraine au format numérique, sur tous les supports
Ne manquez aucune information grâce à la newsletter du journal Terre de Touraine
Sous-titre
Vous êtes abonné(e)
Titre
IDENTIFIEZ-VOUS
Body
Connectez-vous à votre compte pour profiter de votre abonnement
Sous-titre
Vous n'êtes pas abonné(e)
Titre
Créez un compte
Body
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Terre de Touraine.

Vous aimerez aussi

Les deux robots aspirateurs de lisier suivent les parcours enregistrés pour nettoyer plusieurs dizaines de fois par jour le bâtiment d'élevage du Gaec du Maupas. ©B.R
Nettoyage : du tracteur à l'aspirateur

 Le Gaec du Maupas, à Martizay (36), a automatisé le nettoyage de son bâtiment d'élevage et de son aire d'attente.

Depuis fin octobre, Aurore Neau a retrouvé le plaisir de la traite grâce à sa  nouvelle salle de traite, composée de deux quais de 16 postes et un plancher mobile. ©B.R
Salle de traite d'occasion : un gain financier

A Azay-le-Ferron (36), Aurore Neau construit une nouvelle salle de traite pour gagner en confort de travail et pour retrouver le plaisir de la trai

Chaque année, le GDS relève entre 10 à 15 suspicions de tuberculose dans le département. Une surveillance efficace peut contenir la maladie. ©L.L
Tuberculose bovine : une maladie à reconsidérer

Bien que jugée depuis longtemps maîtrisée, la tuberculose bovine demeure présente sur le territoire.

Descartes : un nouveau boucher passionné

À Descartes, Steven Lardin, 32 ans, a repris la boucherie du centre-ville en juillet dernier.

L'essor de l’industrie laitière en Touraine

Entre 1890 et 1930, la Touraine connaît une véritable mutation laitière, marquée par l’émergence des laiteries, la naissance des coopérat

(photo principale)
Adeline Hergault, technico-commerciale passionnée

L’élevage coule dans les veines d'Adeline Hergault et elle partage ce point commun avec les éleveurs qu’elle suit en tant que technico-commerciale

Publicité