Aller au contenu principal

Euroviti 2019
L’eau dans les chais : faire mieux avec moins

L’hygiène au chai garantit l’intégrité des vins. Aussi, l’eau y est largement utilisée. Mais la nécessité de réduire le volume utilisé doit se traduire par un meilleur résultat à tous points de vue, via l’optimisation des pratiques.

Le colloque Euroviti (1) organisé au dernier Sival a posé la question de l’eau dans les chais. Le nombre de litres d’eau consommés pour produire un litre de vin varie d’un à dix. Un volume évoluant selon qu’il s’agit de blanc ou de rouge, de cuves ou de barriques… avec une moyenne de quatre litres d’eau pour un litre de vin (2). A chaque vigneron donc, sa consommation d’eau.

Titre
Je m'abonne
Body
A partir de 5,54€/mois
Liste à puce
Accédez à tous les articles du site Terre de Touraine
Consultez le journal Terre de Touraine au format numérique, sur tous les supports
Ne manquez aucune information grâce à la newsletter du journal Terre de Touraine
Sous-titre
Vous êtes abonné(e)
Titre
IDENTIFIEZ-VOUS
Body
Connectez-vous à votre compte pour profiter de votre abonnement
Sous-titre
Vous n'êtes pas abonné(e)
Titre
Créez un compte
Body
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Terre de Touraine.

Vous aimerez aussi

Quantité et qualité, au prix d’une vinification complexe
Le millésime 2023 semble prometteur. Mais il nécessite un travail à la vigne et au chai important.
Un salon mêlant innovation et démonstration
Même si le prix du matériel s’est envolé depuis plusieurs mois, le monde agricole a fait le déplacement en nombre à Innov-Agri.
A l’ouest du département, un contraste important sur la qualité des baies
 Invités par les deux présidents et leurs conseils d’administration, plusieurs intervenants étaient présents à la réunion de pré-vendanges organisée c
Touraine-Amboise : les vignerons confiants
 Les températures de la semaine dernière ont entraîné une accélération importante de la maturité des raisins.
Penser son intervention en fonction du sol, du climat et de la plante
Pour les deux associés du GAEC de Beauchene dans le Lochois, le travail du sol se module en fonction de trois critères principaux : le climat de l’ann
Le sol : « un être vivant à nourrir »
David Camail, céréalier sur le secteur d’Argy, est membre du GIEE Agroferti 36, depuis sa création.
Publicité